Plus de flexibilité, de sécurité au travail et de productivité pour les PME

Chez Robert Plersch Edelstahltechnik GmbH, tout tourne autour de la tôle. Qu'il s'agisse d'acier, d'acier inoxydable ou d'aluminium, de découpe au laser, de délignage CNC ou de meulage, les quelque 100 employés relèvent le défi. Pour la dernière étape de traitement, le meulage des cordons de soudure, l'entreprise était à la recherche d'un soutien actif et l'a trouvé avec l'aide du partenaire système KUKA SHL AG. "Le client m'a dit qu'il avait des composants, qu'il voulait usiner des cordons de soudure et qu'il ne trouvait pas d'employés" Thomas Magnussen, responsable des ventes et du marketing chez SHL.

Ce qui a plaidé en faveur de la solution d'automatisation, c'est l'amélioration de la protection de la santé de l'équipe de Robert Plersch Edelstahltechnik GmbH. M. Magnussen explique : "Dans le passé, les poussières cancérigènes provenant de l'acier inoxydable constituaient un problème majeur dans cette industrie. Il fallait souvent travailler avec des techniques de protection, des équipements de protection individuelle et parfois des respirateurs. Il y avait aussi le problème des contraintes mécaniques. Si vous devez tenir une meuleuse d'angle pendant huit heures par jour, vous courez le risque d'une tendinite, d'une élongation musculaire et bien plus encore. "Avec les solutions robotisées - avec ou sans systèmes d'extraction spéciaux, selon la conception - l'air respirable est propre, le travail est sûr sans vêtements de protection et l'ergonomie du travail est améliorée.

Mais le robot a aussi besoin de ses collègues humains. Ils se chargent en effet des contrôles de qualité et de la programmation du robot, ainsi que du remplacement de l'abrasif. M. Magnussen se réjouit que de plus en plus d'entreprises de taille moyenne s'ouvrent à de telles solutions. "Certaines personnes pensent encore que les robots ne conviennent qu'aux grandes quantités et qu'ils sont extrêmement coûteux", explique-t-il. "Mais, surtout dans les entreprises familiales, de nombreux décideurs sont très orientés vers les solutions. Nous leur expliquons alors comment le client peut mettre en œuvre des lots de petite taille et à quel point la programmation est flexible, de sorte que les capacités de l'entreprise puissent être mieux planifiées à l'avenir." Le directeur général Georg Plersch ne voit de toute façon pas d'alternative au travail de rectification automatisé dans son entreprise : "Personne ne veut plus faire ce genre de travail".